Un achat par semaine no 1 en 2021. Home Sweet Home

Dans une autre vie quand une équipe de TV de Korean Broadcasting System (KBS, rebaptisée KGB par maman qui a participé à deux tournages :o)) nous interviewait mon Frangin et moi pour savoir « où étaient nos racines », je me souviens qu’on avait ri comme des baleines (la vache qui rit, rit, d’accord, mais les baleines ? Encore une expression cocasse de la langue française) en préparant les questions. Nous étions fatigués d’avoir cette équipe de tournage sur le dos 7/7 et H24 et nous nous amusions à inventer des réponses absurdes :

« Mes racines ? Elles sont dans un pot en terre cuite, bien sûr ! »

A 20 ans, je ne savais pas comment répondre à cette question. Je suis née et j’ai vécu à Séoul jusqu’à l’âge de 5 ans et demi puis à Lausanne et ses environs depuis mon adoption. A 20 ans, je voulais découvrir le monde, ce que j’ai fait par la suite en voyageant sur les cinq continents, mais je ne souhaitais en aucun cas m’enraciner quelque part.

Je crois que je n’ai toujours pas envie de m’enraciner quelque part, je préfère l’idée de déposer mes valises quelque part, une conséquence sans doute de mon adoption qui m’a appris que le monde peut s’écrouler en une fraction de seconde et que l’on peut perdre à jamais ses parents, sa famille, son pays, son identité, sa langue et même son nom. Le côté positif, c’est qu’une fois qu’on a tout perdu, on n’a plus peur de rien ou presque.

L’achat de mon appartement, qui me paraît toujours invraisemblable en raison de sa rapidité, est parti d’une réflexion consciente et pragmatique comme je vous l’expliquais dans mon article précédent : pourquoi dépenser CHF 1’850.- par mois pour un appartement qui ne m’appartient pas et que je veux changer pour le mettre à mon goût (cuisine, carrelage et salle de bain) alors que j’ai les moyens d’acheter beaucoup plus grand en payant moins de mensualités ?

L’équation étant assez simple à résoudre (et surtout parce que j’avais les fonds propres nécessaires, soyons réalistes), me voici propriétaire d’un appartement de 102,5 m2 comprenant une entrée avec la possibilité d’y mettre une salle d’eau, un dressing ou une buanderie (= mon choix. Je vais faire installer une colonne de lavage, même s’il y a deux buanderies communes dans l’immeuble et une penderie pour les chaussures et les vêtements d’extérieur), une salle de bain avec baignoire avec la possibilité de faire une deuxième salle de bain/douche (je vais utiliser la salle de bain pour commencer et je verrai par la suite si j’ai besoin d’une autre salle d’eau), 2 chambres, un dégagement pour un bureau (pas besoin, j’installe mon laptop partout du moment que j’ai la Wifi et une prise électrique), une cuisine avec un bar, un séjour/salle à manger de 47 m2 avec une sortie sur le grand balcon, une grande cave sur le même étage, ce qui est super pratique et surtout, ce que le dossier ne mentionne pas, une vision à 180 degrés sur le lac Léman sans aucun vis-à-vis !

Mon appartement se trouve à 5 minutes en voiture et à 15 minutes à pied du centre-ville de Montreux, la ville sur la Riviera réputée pour son microclimat doux et méditerranéen, le festival de jazz en été et le marché de Noël en hiver, sa statue de Freddie Mercury (6 albums de Queen ont été enregistrés à Montreux) et sa promenade le long du lac bordée de fleurs, de palmiers et de bâtiments de style Belle-Epoque !

Cela va me faire un grand changement de déménager de Lausanne et de la région lausannoise où j’ai toujours vécu mais il est certain que je ne vais pas regretter les rangées d’immeubles en béton (pour ça, je ne commettrais plus l’erreur de vivre dans un quartier au-dessus de la gare de Lausanne, j’aime trop le lac et sa proximité) rendus encore plus gris et tristes cet hiver par la pandémie qui tue à petit feu non seulement les personnes vulnérables mais aussi tous les commerces, les cafés, les restaurants et la vie culturelle. Je ne coupe pas non plus tous mes liens avec le chef-lieu du Canton de Vaud puisque je vais continuer à y aller 3 jours par semaine pour y travailler quand les autorités le permettront, ce qui me donnera l’occasion d’aller au cinéma (j’ai un abonnement annuel Pathé suspendu jusqu’à nouvel ordre) et dans les musées, de déjeuner sur le pouce au Café Nespresso ou au BG Café à Saint-François avec mes copines, d’acheter mon beurre de cacahuètes favori Koeze Company chez Globus, du chocolat chez Blondel et de l’excellente viande chez Hermida à Montchoisi, à la Bouche qui Rit et chez Maillefer au Mont-sur-Lausanne, de boire un latte chez Sleepy Bear et Ca passe crème et de retourner au Beau-Rivage Palace pour un Singapore Sling ou un Moscow Mule, mes deux cocktails préférés, au BAR, un menu shabu-shabu ou un teppanyaki de homard au Miyako, un plateau de fruits de mer au Café Beau-Rivage, des déjeuners d’affaires à l’Accademia, un brunch à la Terrasse, un repas gastronomique chez la chef étoilée Anne-Sophie Pic et un dîner croisière sur un bateau Belle-Epoque de la CGN sur le Léman !

Bien entendu, je resterai aussi fidèle à mes chères Danijela du Salon Red Room pour la coiffure et Jessica de Beauté Attitude pour la manucure ainsi qu’à mon dentiste et à mon médecin qui me suivent depuis des années et que je vois heureusement très peu (le dentiste et le médecin, pas Danijela et Jessica) !

Ce n’est pas parce que je travaille à Lausanne que je suis obligée d’y vivre et je me réjouis de découvrir bientôt les nouvelles adresses à Montreux où je sais d’ores et déjà qu’il y a une très bonne fromagerie et un salon de thé, une herboristerie, une chocolaterie, une parfumerie, des boulangeries, des cafés et des restaurants dont le Fouquet’s du Chef multi-étoilé Pierre Gagnaire, le Montreux Palace et un McDonald’s au Forum ;o)

Il y a également plein de belles balades à faire dans la région, ce qui est important pour moi parce que j’aime me promener dans la nature et parce que je dois m’entraîner pour faire le bisse du Levron avec ma cousine Mumu cet été ;o). Danijela m’a montré plein de photos de sentiers dans la forêt où elle va cueillir de l’ail des ours au printemps et des champignons en automne, organiser des pique-niques improvisés le long d’un ruisseau en été, etc., tout ce côté champêtre qui fait aussi partie de ma personnalité.

C’est un nouveau chapitre de ma vie qui commence et je sais qu’il sera riche et beau (on dirait que je parle d’un homme, là, haha ;o)) parce que je vais faire en sorte qu’il le soit !

La Riviera vaudoise et ses vignobles en terrasse de Lavaux, patrimoine mondial de l’UNESCO
Montreux a accueilli de nombreuses célébrités dont Freddie Mercury, le chanteur de Queen qui y a sa statue : les compositeurs Piotr-Ilych Tchaikovsky et Igor Stravinsky, le poète et le conteur danois Hans Christian Andersen, les écrivains Léon Tolstoï, Ernest Hemingway, Vladimir Nabokov, Francis Scott Fitzgerald, Rainer Maria Rilke, Lord Byron, Jean-Jacques Rousseau, Alphonse Daudet et Sissi, Impératrice d’Autriche.
Vue depuis mon appartement avec la Tour d’Ivoire à droite, le plus haut bâtiment de Montreux situé au centre-ville

Un achat par semaine no 1 en 2020

Zéro déchet, 100 astuces pour alléger sa vie, Béa Johnson

Comme vous semblez apprécier ce genre d’articles, c’est avec plaisir que je vous montre mes achats matériels que je vais effectuer tout au long de l’année. Par matériel, je veux dire un objet physique et pas des expériences comme les spectacles, les repas au restaurant, les foirées (= foire + soirée) ou les voyages, bref, quelque chose qui reste.

Vous trouverez de tout dans mes achats de la semaine, des choses pas glamour comme un robot lave vitre qui sera probablement mon deuxième achat de la semaine, une houppette à poudre qui est un article difficile à trouver et peut-être un jour un sac Lady Dior, que sais-je ?

Je me suis baladée dans les rayons d’une librairie en réfléchissant à l’expérience que je voulais mener pendant la période de 40 jours de Carême cette année (souvenez-vous, j’ai mangé végétarien, testé les recettes pas terribles de Dominique Loreau, dépensé uniquement pour le strict nécessaire et fait d’autres bêtises dont je ne me rappelle plus). Deux ouvrages m’ont sauté aux yeux : un sur la diète sans sucre (hum, oui, pas prête. En plus, je suis contre toutes les théories alimentaires qui écartent un pan entier de l’alimentation) et sur le livre Zéro déchet de Béa Johnson qu’on ne présente plus puisqu’elle est au recyclage du déchet ce que Marie Kondo est au pliage de vêtements en carré, l’étincelle de joie en moins.

La couverture sobre (en papier recyclé ?) a tout de suite attiré mon regard car je le trouvais joli. Je me rappelle très bien avoir feuilleté la version précédente et renoncé à l’acheter pour trois raisons :

  1. L’objet livre avec la photo de l’auteure, la mise-en-page brouillonne et bâclée avec quelques coquilles dans le texte ça et là, l’épaisseur des pages ainsi que la police de caractère ne me plaisaient pas.
  2. Le côté extrémiste de la dame m’avait refroidie illico quand j’avais lu ses recettes de maquillage avec les ingrédients de cuisine. Je tremble à la perspective de vivre 40 jours avec de la Maïzena (fécule de maïs) mélangée à de la poudre de cacao en guise de poudre de visage ! O_o Je veux bien que les Romaines se noircissaient les yeux avec de la cendre et du safran (elles n’avaient pas le choix, le mascara n’existait pas) et que la dernière tendance en matière de beauté à New York est de se faire des masques à partir de déjections de rossignol comme les geishas (après le sperme de baleine, le venin de serpent et la bave d’escargot, yum !), mais naturel ne signifie pas forcément que c’est bon pour la peau.
  3. J’ai détesté l’idée de rendre les cadeaux aux invités si ceux-ci avaient le malheur de ne pas correspondre aux critères environnementaux de la dame. C’est un geste tellement agressif envers l’autre et un manque total de savoir-vivre : « mon bocal d’un litre et mes convictions écologistes sont plus importantes que toi et tes goûts, en fait. »

Je ne pars donc pas complètement conquise ni emballée par mon achat mais pour moi, c’est toujours positif d’aller au-delà de mes préjugés, de sortir de ma zone de confort et de savoir de quoi je parle. Je suis sûre également que j’y piocherai de bonnes idées ici et là. Une expérience que je vous invite à partager avec moi, à partir du mercredi 26 février, sur Instagram et sur mon blog !

Un achat par semaine 2019 – Nos 1 et 2

Thermomix TM5 et TM6
Vorwerk

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Les personnes qui me connaissent savent que je suis plus douée pour lancer des réseaux internationaux et établir des stratégies et des plans d’actions sur 4 ans que de faire la cuisine, le ménage et le repassage.

Il m’arrive de temps en temps d’avoir des crises de rangement aigu qui me font plier toutes les affaires que je trouve comme Marie Kondo mais je suis plus une femme 2.0 qu’une fée du logis.

Disons que j’ai de la peine à imaginer que le ménage pourrait m’épanouir même si je comprends la satisfaction que l’on peut éprouver devant un intérieur immaculé, des fenêtres propres et des draps fraîchement repassés. En voyant maman être de méchante humeur chaque vendredi matin, jour du ménage, j’ai grandi avec l’idée que les tâches domestiques étaient synonymes de corvées à exécuter si l’on ne veut pas vivre dans une tanière qui pue le vomi de vautour. Comment je m’en sors alors ? Comme dans toute entreprise qui peut se le permettre, je sous-traite !

D’ailleurs, les hommes ne s’y sont pas trompés : accomplir une tâche ingrate sans être payé, non mais ça va la tête ?

Il n’y a qu’au chalet où je prends vraiment du plaisir à aspirer, astiquer, récurer et nettoyer. Sans doute parce que tout est neuf et parce que j’ai pu choisir tous les éléments et matériaux de construction. C’est d’ailleurs en réfléchissant à compléter la batterie de cuisine du chalet que j’ai commencé à chercher le robot de cuisine le plus polyvalent possible mais sans un million d’accessoires en pièces détachées qu’on n’utilise jamais et qui encombrent les tiroirs (ce ne sera pas toi, joli KitchenAid).

Thermomix TM5 (c) photo : Cookomix

Je ne sais pas comment je suis tombée sur le Thermomix. Probablement en tapant des mots clés dans un moteur de recherche. Toujours est-il que j’ai découvert le TM5, le robot cuiseur qui fait tout : hacher, mixer, trancher, peser, cuire, mijoter, pétrir, moudre, etc., avec une simplicité déconcertante : un écran, un bouton et c’est tout. Steve Jobs aurait aimé.

Quant aux accessoires, ils sont aussi réduits au minimum : un bol de mixage muni d’un couvercle et d’un couteau, un panier vapeur, un plat à double étage pour les cuissons à la vapeur, un gobelet doseur et une spatule, le tout passant à la machine à laver.

L’achat d’un Thermomix n’étant possible qu’en vente directe auprès d’une conseillère spécialisée, j’ai contacté ma chère amie Samichou, une pro de chez pro du Thermomix puisqu’elle forme les conseillères régionales, qui m’a invitée chez elle pour une soirée sympa : atelier de cuisine et repas en famille.

Quand Samichou m’a annoncé que j’allais préparer un menu pour 5 personnes composé de focaccia et de mojito pour l’apéritif, de quinoa vapeur, filet de saumon sauce basilic et de salade de légumes en plat principal et d’un sorbet à la framboise pour le dessert, je me suis dit que j’y passerais la nuit et que nous irions nous coucher le ventre vide. C’était sans compter la magie du Thermomix ! J’ai été convaincue par ce robot dès la première préparation (le sorbet à la framboise) et j’ai voulu signer le contrat quand on a enchaîné avec le mojito.

En un clin d’œil et sans aucun effort (juste appuyer sur des boutons), nous nous sommes attablés devant un dîner sain et délicieux. Tout était réussi ! A tel point que je me demande comment on peut rater des plats avec un Thermomix.

Thermomix TM6 (c) Cookidoo
Regardez comme les femmes sont contentes ! (c) photo : Cookidoo
Il n’y a pas que les femmes mais les hommes aussi ! (c) photo : Cookidoo

Depuis ma rencontre avec Momix, mon prrrrrrééééciiieux, j’ai développé un attachement fort pour cet appareil et il m’est tout simplement inconcevable de vivre sans lui ! A tel point que je n’ai pas pu m’en séparer quand on me l’a livré à la maison pour l’amener au chalet. Par conséquent, je n’ai pas eu d’autre choix que d’en commander un autre à Samichou et cela tombait bien car Vorwerk, la marque allemande qui produit ces petits bijoux culinaires, a lancé le TM6, la version upgradée du TM5 disponible en juin 2019, avec un écran tactile plus large, le service Cookidoo (plateforme de recettes) intégré, les modes pétrin, bouilloire, mijotage jusqu’à 8h de cuissons basses et hautes températures, fermentation pour réaliser des yogourts, sous-vide plus auto-nettoyage de la cuve.

Momix 5 ira au chalet tandis que Momix 6 restera à la maison. J’espère que Momix 5 ne se sentira pas trop seul là-haut mais il pourra communiquer avec ses futurs copains la pompe à chaleur Domotec, le four Siemens, le lave-linge Hoover qui sont tous équipés du WiFi ;o)

Poulet aux légumes d’hiver. L’asperge n’est pas un légume d’hiver mais j’ai utilisé une conserve.
Golden Green Smoothie (c) Kimberly Snyder
Goulache

Avec Momix, j’ai cuisiné du poulet aux légumes d’hiver (photo), un curry de poisson au curcuma, de la goulache (photo), une blanquette de veau, un drink pamplemousse-mangue, du papet vaudois, de la salade de carottes, une salade thaï au bœuf et le fameux Golden Green Smoothie de la prêtresse vegan Kimberly Snyder.

Momix 5 et Momix 6 sont les achats les plus intelligents de ma vie !

Un achat par semaine nos 11 à 14

4 T-shirts Topten
Busan (KOR)

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Malgré les apparences, je n’achète pas que des objets hors de prix ni ne m’habille de la tête aux pieds de vêtements de créateurs. Dépenser USD 250 pour un simple T-shirt en coton relève pour moi de l’absurdité  ou du snobisme le plus crasse.

J’essaie néanmoins de faire attention à ce que j’achète et de privilégier les marques locales là où je me trouve, d’abord parce que c’est plus intéressant que d’entrer dans le millième H&M ou Zara de la planète, ensuite parce que j’espère que la personne qui aura confectionné mon habit puisse mener une vie acceptable et travailler dans des conditions décentes.

J’ai découvert la chaîne coréenne Topten à Busan, en été dernier, qui propose de bons basiques à des prix compris entre KRW 10’000 à KRW 60’000 en moyenne. Ca a l’air de faire beaucoup d’argent écrit comme ça mais ça correspond à 10 et à 60 dollars US. Topten me rappelle la marque japonaise Uniqlo avec une touche coréenne indéfinissable que l’on remarque dans la coupe et un style urbain particulier qui n’existent pas en Europe.

Il n’y a rien de renversant dans les quatre T-shirts que j’ai choisis : un gris et un vert canard à col rond (pas sûre que le col rond convienne à ma morphologie car j’ai de la poitrine © Cristina, les reines du shopping) et un blanc et un rose à col en V. J’aime toutefois la matière super légère dans laquelle ils sont taillés et j’en prends toujours un avec moi quand je voyage pour traîner ou dormir dans la chambre d’hôtel.

Mine de rien, il y a T-shirt et T-shirt et il y a des vêtements où l’on se sent bien dedans et d’autres pas sans que l’on sache pourquoi. Il y a quelques années, j’avais commandé des T-shirts Maison Standards, dont le concept de « création juste, unique, exigeant, engagé, durable et désirable » me séduit toujours autant sur le papier mais pas à tous les coups dans la réalité, et j’avais été déçue : je flottais dans la taille XS unisexe et le tissu très (trop) fin se froissait en un rien de temps. Par ailleurs, ils n’avaient pas la douceur réconfortante de mes T-shirts Topten dans laquelle j’aime me lover après une dure journée de travail.

Ces T-shirts font partie de mes vêtements « doudou » et je les remplacerais volontiers quand ils seront usés.

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J’ai plié mes T-shirts à la Marie Kondo, idéal pour la valise mais moins dans l’armoire où je préfère les avoir à plat.

Un achat par semaine no 10

PyeongChang 2018 Sneakers
Lotte Department Store Seoul (KOR)

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J’ai trois baskets, non quatre, ce qui pour une Reine du Shopping © M6, ne me permettrait pas de concourir pour être stylée en chaussures de sport. J’ai les classiques Converse blanches en toile ramenées de Floride, des Nike bleues et roses que l’on m’a données et qui ne supportent pas la pluie, des Reebok noires pour courir et ces baskets produites par Lotte Department Store à Séoul pour célébrer les premiers jeux d’hiver en Corée du Sud.

Si je suivais les conseils de Dominique Loreau, je n’aurais qu’une paire de tennis, celles pour courir. Je ne sais pas trop ce qui m’a motivée à acheter celles-ci hormis le fait qu’elles soient coréennes, qu’elles me rappellent vaguement les Stan Smith que tout le monde a ou presque et que j’aime le slogan « Passion Connected » inscrit à l’arrière de la chaussure sur le système de protection du tendon d’Achille.

Parfois, il faut bien peu de choses pour déclencher une envie d’achat. Je porte ces baskets avec des chaussettes trop mignonnes en dentelle à 1.- la paire, trouvées dans un marché à Busan que je vous montrerais une prochaine fois.

PC
Photo (c) Lotte Department Store