Un achat par semaine 34 à 47

Il manque de nombreuses photos pour illustrer mes achats de la semaine mais je les ajouterai au fur et à mesure. J’avais surtout hâte de boucler l’année 2015 où je n’ai pas dépassé le chiffre de 47 achats (pièce unique ou série identique) comme je me l’étais fixé, ce qui est une petite réussite en soi.

A-0198_mediaMainHDAchat de la semaine 34. CitiZ Travel Mug Nespresso*

Je cherchais depuis longtemps un beau mug que je puisse emporter partout avec moi et qui ne soit pas en plastique, difficile à nettoyer après les boissons lactées. Grâce à sa double paroi en inox, ce mug au design racé et élégant, permet de conserver les liquides chauds ou froids pendant 2h sans se brûler les doigts.

A l’achat d’un CitiZ Travel Mug, Nespresso offre un bon pour deux cafés Espresso, Lungo, Cappuccino et Latte Macchiato dans leur Boutique Bar à Lausanne.

Nespresso / Place Saint-François 1 / 1000 Lausanne / Suisse

Achat de la semaine 35. Marciano Amy Top

Un top blanc sans manches à l’encolure frangée marine que je peux nouer de différentes façons du plus bel effet.

Centre Colombo / Av. Lusiada / 1500-392 Lisboa / Portugal

Achat de la semaine 36. Robe Guess Lace Polka Dots

Une robe noire à pois dont j’aime particulièrement le dos-nu en dentelle. Je la porte parfois sous une veste de tailleur ou sous un cardigan au travail pour camoufler le côté sexy.

Centre Colombo / Av. Lusiada / 1500-32 Lisboa / Portugal

Achat de la semaine 37. Robe Guess Lace Details Sleeveless

Cette robe est la robe préférée de Lui quand je sors. Très moulante, elle comporte des empiècements en dentelle dans le dos et sur les côtés. Une paire d’escarpins et je n’ai pas besoin d’en faire plus.

Centre Colombo / Av. Lusiada / 1500-32 Lisboa / Portugal

Achat de la semaine 38. Guess Sweetheart Bustier Top

Un bustier pigeonnant aux pinces discrètes qui impose un ajustement parfait au corps pour ne pas tout dévoiler ;o) Afin de ne pas tomber dans la vulgarité, je le porte sous une veste ou sur une robe crayon noire et sobre qui s’arrête au genou ou juste au-dessus du genou.

Centre Colombo / Av. Lusiada / 1500-32 Lisboa / Portugal

IMG_1047Achat de la semaine 39. Laine Sublime « Bobbi »

Même si je suis omnivore et consomme de la viande, je ne cautionne pas la maltraitance animale ni les délires de la PETA non plus avec son syndrome BWVAKTBOOM « Boyfriend Went Vegan and Knocked the Bottom Out of Me » de très mauvais goût. Comme je ne voulais pas prendre le risque d’acheter de la laine de lapins angoras dont on aurait arraché le poil au lieu de les tondre, j’ai fait des recherches sur le net et suis arrivée sur la page de la Filature du Valgaudemar qui met un « point d’honneur à transformer l’angora français, dans un souci de perpétrer la passion des producteurs d’angora en France mais également dans le respect du bien-être des lapins angora » J’ai commandé plusieurs pelotes Sublime aux couleurs naturels de « Bobbi » que je suis patiemment en train de tricoter pour en faire un pull doux et moelleux pour cet hiver.

Filature du Valgaudemar / Le Moulin / Route du Moulin / 05800 Saint-Firmin / France

IMG_1336Achat de la semaine 40. La Quête de Robert Lyndon

C’est à la librairie Bon Marché Rive Gauche, mon grand magasin préféré à Paris qui a inspiré Emile Zola pour son roman « Au Bonheur des Dames » que j’ai trouvé ce roman d’aventures médiévales de Robert Lyndon, fauconnier de profession. J’ai un faible pour les gros pavés historiques (celui-ci fait 900 pages environ) à l’écriture fluide qui emmène le lecteur dans les lointaines contrées avec des personnages hauts en couleur et bien décrits.

Le Bon Marché / 24 Rue de Sèvres / 75007 Paris / France

IMG_3328Achat de la semaine 41. Un voyage en Floride et en République Dominicaine

La Floride parce que je rêvais d’aller aux Studios Universal voir The Wizarding World of Harry Potter et la République Dominicaine pour ses plages magiques et la mer turquoise et transparente des Caraïbes. Le Paradis existe !

Achat de la semaine 42. De la lingerie Victoria’s Secret

Je suis partie 3 semaines en septembre en Amérique du Nord (Lake Placid, NYC et Vancouver) où je me suis vite rendu compte que mes 7 culottes, chiffre recommandé par les minimalistes, n’allaient pas suffire, même en les portant à l’endroit puis à l’envers comme le font les grands explorateurs (beurk). Dominique Loreau et Madame Béa lavent probablement leurs sous-vêtements au savon de Marseille dans le lavabo de leur chambre d’hôtel et les font sécher, euh, sous un coussin (?), mais je ne suis pas aussi extrême et ai profité d’être à New York pour m’offrir des dessous chics Victoria’s Secret.

Victoria’s Secret / 115 5th Ave / New York City / United States of America

Achat de la semaine 43. Un parapluie The Umbrella Shop

J’ai cassé une baleine de mon unique parapluie Burberry par mégarde (je le ferai réparer) et ai profité de mon séjour à Vancouver pour en acheter un à The Umbrella Shop, ouvert en 1935 par la 3ème génération de la famille d’Isadore Flader, dernier fabricant de parapluies à la main de tout le Canada !

Ce parapluie violet à nœuds et à pois ne correspond pas à mon style ordinaire mais il apporte une touche de féminité et de gaîté bienvenue à mes tenues.

The Umbrella Shop / 526 W Pender St / Vancouver / BC V6B 1V3 / Canada

arton8667-3789eAchat de la semaine 44. Un trépied de voyage Cullmann Concept One 622T Aluminium*

Je m’encombre du minimum quand je voyage alors je ne vais certainement pas emporter ce trépied de 1,420 kg même s’il est compact avec ses 34 cm une fois replié. A quoi me sert-il donc ? Hé bien, la tige pour iPhone ayant montré ses limites, je souhaitais un trépied pour certaines prises de vue pour mon blog, notamment pour la macro quand la lumière est faible (je déteste utiliser le flash) ou lorsque je contrôle mon Sony RX100 ii avec mon téléphone. Enfin, c’est un outil indispensable pour réaliser des vidéos bien que ce n’est pas mon objectif premier.

Photo Vision SA / Rue Pichard 11 / 1003 Lausanne / Suisse

 IMG_3461Achat de la semaine 45. Outlander, tomes 1 et 2, de Diana Gabaldon

J’avais lu il y a quelques années « Le chardon et le tartan » qui était le titre français d’Outlander de Diana Gabaldon avant que Starz décide d’en faire une série (hiiiii, Jamie) et que les réseaux sociaux s’en emparent. Je me rappelle que ce livre ne m’avait pas fait une grande impression parce que je n’étais pas branchée grands Ecossais roux en kilt (hiiiii, Jamie) et parce que la rébellion jacobite n’était pas ma période historique préférée. Par ailleurs, j’avais du mal avec le côté fantastique qui amenait l’héroïne à remonter le temps 200 ans en arrière grâce au cercle de pierre sans qu’on sache vraiment pourquoi : « Je me balade dans la nature et pouf, je disparais et rencontre un homme du 18ème siècle tout blessé et cracra que je ne connais pas mais qu’il est beau, mandieu, qu’il est beau (hiiiii, Jamie) et tant pis pour mon mari Frank, l’émancipation féminine et le confort de la vie moderne, hein ?! »

5 ans plus tard et après avoir visionné plusieurs épisodes d’Outlander, saison 1, sur la RTS (il me reste les derniers à voir) qui m’ont beaucoup plu (hiiiii Jamie), je me suis replongée dans la saga de Diana Gabaldon qui m’a captivée par sa plume agile et par ce je-ne-sais-quoi que l’auteure sait distiller dans l’intrigue souvent rocambolesque qui nous tient en haleine. Un vrai livre cacahuète comme je les appelle !

Malgré les apparences, Outlander n’est pas qu’un livre à l’eau de rose et certains sujets abordés peuvent choquer les âmes sensibles de par leur gravité et leur violence.

A présent, je ne sais pas si l’auteure saura me tenir en haleine sur les 7 volumes de la série mais je suis bien contente d’avoir entamé  le tome 2 qui amène nos héros sur les routes de France.

Librairie Payot / Place Pépinet 4 / 1003 Lausanne / Suisse

Achat de la semaine 46. Des bottes cavalières italiennes

Certains achats font rêver par anticipation puis le charme disparaît une fois qu’on les acquiert. C’est ce qui s’est passé avec mes bottes cavalières italiennes de belle facture, tout en cuir à l’extérieur comme à l’intérieur. Le problème est que je ne sais pas avec quoi les porter. Je les garde toutefois car je sens qu’elles ont un bon potentiel et qu’un jour, tel Archimède dans son bain ou Newton sous son pommier, le déclic se fera dans ma tête. Oui, la comparaison avec ces deux illustres savants est très hasardeuse… Hum.

Stora Shoes / Avenue de Rumine 7 / 105 Lausanne / Suisse

1014539Achat de la semaine 47. Un agenda Smythson Mayfair 2016*

L’agenda Smythson Mayfair fait partie de mon rituel de fin d’année. J’ai cherché des alternatives comme Filofax, Hermès, Louis Vuitton, Moleskine, etc., mais aucun ne m’a convaincue. J’affectionne comme jamais son poids-plume, sa reliure confectionnée à la main et son cuir lumineux qui se patine au fil du temps. L’agenda Smythson est plus qu’un agenda, c’est le luxe à l’état pur.

Smythson / 400 Oxford Street / Marylebone / London W1C IJS / Great Britain

*Copyright (c) photos : Nespresso, Cullmann, Smythson

Bling Bling Fashion

J’ai été récemment questionnée sur Facebook sur mes achats à la boutique Marciano à Lisbonne, Marciano/Guess étant considéré comme « voyant, bling bling, parfois vulgaire et de très mauvaise qualité » alors que je suis supposée « détester la Fast Fashion, aimer les jolies choses et les marques de luxe ».

En préambule, je tiens à préciser que je n’ai pas (trop) mal pris cette réflexion. Je ne peux pas plaire à tout le monde et c’est okay. Cependant, je crois avoir suffisamment répété sur mon blog que je n’étais pas une référence ni un modèle à suivre et que chacun est libre de faire ce qu’il veut et/ou peut de sa vie, pour que l’on ne me prête pas des intentions qui ne sont pas les miennes.

Ceci étant dit, j’assume sans rougir tous mes achats chez Marciano pour les raisons suivantes :

Marciano/Guess, c’est voyant, bling bling et vulgaire. Tous les goûts sont dans la nature ! Je ne peux guère me prononcer sur le sujet étant donné que je n’ai pas pour principe ni pour métier de juger les gens sur leur apparence physique ou sur leurs éventuels « fashion faux pas ». Par ailleurs, si je concède volontiers que mes MBT, mes Birkenstock et mes KyBoots sont d’une laideur remarquable, je revendique le droit de sortir en panoplie intégrale de cagole si je le souhaite. Quant aux marques de luxe, elles ne sont pas toujours synonymes de « bon goût » ni « de chic absolu », Céline, qui est une marque que j’adore, a commis d’étranges escarpins en fourrure pour le printemps 2013 ou encore des ballerines à talon pour cet été qui me laissent perplexe, mais c’est mon avis. Il y a du bon et du mauvais partout ! Guess peut même faire dans la sobriété, c’est dingue, non ? Okay, il faut chercher longtemps ;o)

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Céline SS2013 (c) Internet. Je me demande combien d’escarpins en fourrure ils ont vendu cette année-là
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Photo (c) Internet. On ne peut pas reprocher à Céline le manque d’originalité ! ;o)

Marciano/Guess, c’est de la très mauvaise qualité. J’ai passé en revue les robes que j’ai achetées chez Marciano et n’ai rien vu qui pourrait confirmer cet avis d’une manière empirique : les étoffes sont finement doublées pour la plupart, les étiquettes sont cousues avec soin et pas simplement prises dans l’ourlet avec un zigzag simple, les fermetures éclair sont surmontées d’un petit rivet discret aux encolures, etc. Quant aux Viivi Ankle Boots Marciano, même si la chaussure est étroite et le talon aiguille très haut, elles sont incroyablement plus confortables que mes Louboutin. Attention, je n’affirme pas que toute la production de Marciano/Guess est de qualité ni que les marques de luxe sont exemptées de défaut de fabrication : après un mois, un ami a pu dire adieu à sa ceinture (B*berry ou Louis V., je ne m’en rappelle plus mais je lui demanderai et éditerai mon article en fonction de sa réponse), d’où l’importance de vérifier la qualité par soi-même et ne pas se fier à une « réputation » bonne ou mauvaise.

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Mes bottines vulgaires de cagole : Viivi Ankle Boots Marciano (c) Internet

Je déteste la Fast Fashion. Il ne me semble pas avoir écrit un jour que je haïssais la Fast Fashion mais que j’évitais certaines chaînes de vêtements low cost pour plusieurs raisons, les principales étant qu’on trouve les mêmes enseignes partout dans le monde (quel intérêt d’acheter en Malaisie ce que je peux acheter en Suisse ?) et surtout parce que j’ai été bouleversée par les +/- 1’135 personnes qui ont perdu la vie et les +/- 2’000 blessés dans l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh en 2013, en majorité des femmes et des enfants qui se trouvaient dans la garderie de cet immeuble de confection textile. Si en début d’année, « nous étions tous Charlie » et écoeurés, avec raison, par le lâche assassinat de 12 personnes et de 11 autres blessées pour des dessins de presse, je peine à comprendre comment on peut accepter aussi facilement qu’un millier de personnes puissent mourir pour des vêtements et continuer à consommer comme si de rien n’était. La situation semble cependant avoir évolué avec la création d’un fonds pour venir en aide aux victimes et à l’exception de Benetton, Auchan et Carrefour qui refusent toujours d’y participer, je n’exclus pas d’acheter désormais des vêtements chez H&M/Cos et Inditex/Zara même si ce n’est pas prévu dans l’immédiat car j’ai d’autres priorités. Bien sûr, la situation est plus complexe que cela et je vous invite à consulter le site Clean Clothes Campaign pour obtenir des renseignements supplémentaires. Pour en revenir à Marciano/Guess, même si ses fondateurs ont des « goûts de ch*otte » ;o), ils n’en sont pas moins altruistes puisqu’ils ont créé la Fondation Guess en 1994 pour soutenir aussi bien la cause environnementale qu’humanitaire. Ils aident financièrement plusieurs associations comme Best Friends Animal Society, Environmental Media Association, Make-a-Wish, Feed the Children, Susan G. Komen Breast Cancer Foundation ou encore l’association Peace Over Violence pour Denim Day aux USA et bientôt en Europe qui encourage la population à porter un jean un jour dans l’année pour protester contre toutes formes de violence et d’abus sexuels. Rien que pour ça, j’irai acheter un jean chez Guess (un sobre, promis ! ;o)).

Pour finir, Marciano, Guess ou pas Guess, je me sens à l’aise avec mon statut de « bobo bourgeoise vulgaire » (ça en fait des qualificatifs ;o)) et continuerai probablement à faire plein de fautes de goût pour mon plus grand bonheur ! Pour le reste, ce n’est pas important, après tout, ce ne sont que des vêtements…